Partager Posté(e) 24 février 2021 (modifié) Comme s’étire au cœur un air d’accordéon C’est l’amour qui revient en une joie immense Il chante les regrets en pleine déraison Les hivers et l’espoir que l’été recommence Les tambours de l’oubli l’agneau et le scorpion Les veines du plaisir le cristal de la chance Tournent à tous les vents pour briser les lampions Le sang gicle du vin des grappes d’abondance Un oiseau enfermé dans sa cage dorée Est le désir qui dort dans la prison des femmes Il pleut des seins des mains dans les retours de flamme Au rythme fascinant de leurs pieds adorés Dansent les bien-aimées aux paupières dociles Aux cheveux dénoués par des doigts malhabiles Modifié 24 février 2021 par Jeep 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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