Partager Posté(e) 22 février 2021 Depuis l’impérissable vertige Les chevelures s’attellent aux falaises Le désastre de l’étreinte Exalte dans la profondeur Du parfum qui tourne Et souffre sans trépas Ardente l’empreinte des gouffres Se repait de poings fermés De coups de fouet Et parfois de pâturages Les fleuves n’embrassent pas Les feuillages d’argent à la dérive De bien tristes lanternes Les soirs de deuil sans étoiles Détournent le si peu de lumière Pour mieux supporter le silence Et si le désir Éternelle déraison Immense délire Ardents tisons N’était que zéphire À l’aube de l’ivresse. 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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