Partager Posté(e) 19 février 2021 Par quelle barbarie L’homme frissonne-t-il Face à l’obscurité Et brocarde les astres Sans silex ni solfège Le souffle qui jongle en sous-œuvre Sur les échardes du temps S’abreuve d’ombrages au sang froid Que l’esclavage refuse Sur les chemins semés d’ardoises Les moulins qui dispersent La sagesse d’inconscientes étincelles Suffiront-ils à suspendre Les frimas de la mémoire C’est beaucoup trop d’abeilles Pour dompter les fontaines Éparpillons la moisson de l’automne Sur les rives déchirées Par les reflets capricieux des étoiles. 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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