Partager Posté(e) 9 février 2021 L’éveil transi de février peine à dissiper les larmes échappées des pleurs de janvier aux heures safranées des rites Fourbu, un astre ensommeillé peine à dissiper le givre déposé par le gel du temps sur la vitre de nos années Aux emphases des solstices où nous hâlions notre vigueur s’offrent les cendres d’un amour aux sourdes braises de l’été A l’autan des équinoxes aux neuves aurores pastel aux roses sourires complices luiront demain nos îles sereines 13 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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