Partager Posté(e) 26 septembre 2018 Murmurer à l’instant le poème du temps qui s’enfuit du vert tendre des rizières au brun doré des moissons, coudre des fleurs épanouies au linceul turquoise de la mer entre les angles des déserts de pierres aux bois blessés dans l’ouragan, jeter les ténèbres de mes mains les scories de mon âme , et marcher dans le monde pareille à toutes les femmes, en toute humilité 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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