Partager Posté(e) 24 septembre 2018 (modifié) Au temps déjà lointain de nos premiers printemps, Ta robe emportée par un souffle de vent, Tu passais devant nous de ton air innocent Parée de la radieuse beauté de tes seize ans. Ta jeunesse éclatante, prêtée par le malin, Le diable en ce temps-là la tenait dans sa main. Il t'offrait en ces jours ce qu'il prendrait demain Et son rire, par le tien, se moquait du destin. Ce soleil qui, jadis, nous avait fait rêver, Le temps dans le tombeau aujourd'hui l'a placé. Mais toujours en nos cœurs sa lumineuse image Du temps de ses seize ans, pour nous, reste en partage. Modifié 24 septembre 2018 par Féludorée Corrections d'un espace et d'un œ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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