Partager Posté(e) 16 décembre 2020 La fièvre que le ciel Disperse d’étoiles en volcans Propose de fausses réponses Aux heures qui vibrent À chaque gorgée furtive De vinaigre arénacé Je n’ose vêtir de clarté Les orages qui s’obstinent De maladresses indifférentes Et de querelles inutiles Ne parlez pas du destin À travers l’attente d’un reflet Ne parlez pas du pelage des chevaux Sans embrasser les silhouettes Qui galopent au lointain Parlez-moi des châteaux de sable Des guirlandes Des clochers Parlez-moi de l’absence des horloges Qui fait tant souffrir Parlez-moi du bonheur de l’ivresse Et des saules pleureurs. 12 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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