Partager Posté(e) 28 novembre 2020 Un peu de temps Juste quelques papillons Pour écarteler les nuages Écorchés par de mauvais vernis Aride résistance Qu’il faut ignorer En attendant les cyclones du printemps Le repos se prononce Comme un phare un soir d’orage Et se promène de vagues profondes En comète ensoleillées Parfois furieuse Mais peu propice à la colère L’épée s’échappe du fourreau Et brûle tout ce qui étouffe l’héritage Ainsi que le refus des récoltes Rien n’efface le sel des larmes Espérons que demain sera fertile Pour sculpter l’étrange velours De nos rêves. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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