Administrateur Partager Posté(e) 26 novembre 2020 Dans le silence de la gare déserte, les trains sont toujours en partance. Sur les quais, des regards éperdus oubliés par des voyageurs en transit. Le temps d’un halètement fugace, les aiguilles de l’horloge se figent. Des lèvres fanées se distendent ; des bruits de pas pressés s’effacent. Dans le fracas des départs hâtifs, les bouches irradiées pleurent des promesses en couperets sur des lendemains improbables. 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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