Partager Posté(e) 25 novembre 2020 INSTANTS ESTAMPILLES Les troncs de l'aulne en leur centre sont parasités Sous les branches de l'érable nain violacé du Japon Picorent de minuscules oiseaux forts zélés Planent des bouleaux des ombres géantes d'ailerons De l'être féminin Du jardin s'envolent Voyelles consonnes Fins mots masculins Les frênes et le chêne Bordent la méridienne Ombres chromées d'ébène Aux confins pyrénéennes Barrière des lésions hispaniques Madrid Valence Barcelone Verrière d'évasions océaniques Santander Tanger Lisbonne Les corneilles s'assemblent Les corbeaux leur ressemblent La console ne console plus Le disque formaté des grues Du vingt novembre au six décembre Reportée aux ponts de Mai la chambre La consonne ne dévoyelle pas l'avis Des bergers des mille et une nuits Les experts en désastrologies naturopathes dévoilent S'astrolabent dans un hôtel sans la belle étoile Le vent a achevé Le fossile de l'aulne Les géants et leur faune Se sont repliés Noël décalé Tous sentaient Sauf le sapin Papier dépeint Nous nous réveillons La dinde est marron L'aulne fossilisé A bu son dernier été Quand la fée y montait Instants d'éternité. C.B. 11/20 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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