Partager Posté(e) 21 novembre 2020 Le sang de l'hiver rouille ses lèvres d'un goût amer et couvre d'anonymat la blessure de ses prières C'est l'aveu d'un coeur immobile qui plie sous l'empire du silence trop nue,la beauté d'une âme fière a déteint dans l'eau de la dormance On se souvient des ondes vagabondes des saisons laissées à l'abandon des reflets sauvages de la lumière familiers d'un espiègle coup de vent On oublie le cri de l'espérance sur le radeau en perdition l'instant de vie qui se corrompt dans le désordre de la raison La musique est une magie savante qui brave l'éloquence des perdants mais pour chanter l'avenir de l'âge combien d'arpèges avant d'arrêter le temps ? 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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