Partager Posté(e) 10 novembre 2020 (modifié) Comment imaginer que l'homme est un bredin Qui brocarde sa vie tout en branlant du chef Alors qu'au bocage les lueurs du matin Témoignent sans un cri d'un amour bien trop bref ? Le barde heureusement à l'âme baladeuse Crapahute en riant, le gentil croc mignon, Dans les sentiers perdus lors des minutes creuses Où les fées dissipent le pleur nauséabond. Une troubadouresse à la voix de stentor Lui envoie du très lourd sans en faire des caisses Vers l'avant de l'Avent en ménageant ses ors. Et je vous prie de croire, au noroît des trouvères, Que cette langue d'oïl de qui va à confesse Joue d'une pointe d'oc pour doubler ses amers. Modifié 10 novembre 2020 par Marc Hiver 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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