Partager Posté(e) 9 novembre 2020 Il y a des ardeurs qui faute d’aboutir Se fracassent au mur de toute lassitude Dans le temps corrupteur qui détruit le désir Et transforme l’amour en marais d’inquiétude Puis il y a les mots qui sont de repentir De vaine soumission et de sollicitude Pour espérer encore et ne plus en souffrir Qui n’aboutissent pas dans leur mansuétude Que faire alors sinon en prendre son parti Un beau jour se lever et dire avec tristesse Je m’en vais maintenant puisque tout est fini Non son cri me retient j’oubliais la tendresse J’oubliais que la vie inspire les caresses Qui ne sont pas du corps mais qui sont de l’esprit 10 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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