Partager Posté(e) 21 octobre 2020 (modifié) tels les loups affamés qui mordent des fragments de lune on aboie des mots en se tuant sans cesse et on coupe profondément les lignes de vie de nos mains jusqu'à ce que bleu le sang inonde tous les poèmes écrits la nuit pour les matins des autres. Modifié 1 novembre 2020 par Féludorée Ajout de deux accents 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés