Partager Posté(e) 29 septembre 2020 Foutez-nous donc la paix avec vos zigouigouis Dont on ne reconnaît ni le nom ni la forme Si ce n'est qu'à manquer ils deviennent énormes Tous ces petits objets qui taraudent l'esprit ! Objets de ma pensée ne valant pas tripette, Cruellement parlant dans ce théâtre vil Où la vie des enfants au bouton des nombrils Ne peut plus respirer quand la mort se la pète, La nostalgie est vaine et la mélancolie, — Ce spleen dérisoire des âmes condamnées — Me fait vomir d'amour au soir de l'hallali. Que les haies du bocage estompent l'horizon ; Et tombent dans l'oubli les fadaises en pleurs Qui aveuglent l'enfer des frères mirontons. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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