Connecté Partager Posté(e) 28 septembre 2020 (modifié) J’ai marché prudemment sur les galets polis J’ai franchi les oyats qui retiennent la dune La mer est apaisée ainsi que mon esprit Je respire le vent qui court sur la lagune Le ciel est embrumé lorsqu’arrive la nuit Par delà l’horizon sous un croissant de lune Et le dernier éclat du soleil enrougit La surface des flots comme un sang d’infortune Ténébreuse clarté et reflet attachant Sur le visage aimé des ombres du couchant Vous êtes souvenirs et je la revois telle Qu’elle était frissonnante et blottie contre moi À la tombée du jour que je l’aimais et qu’elle Me laissait deviner intense son émoi Modifié 28 septembre 2020 par Jeep 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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