Partager Posté(e) 27 septembre 2020 Amicale ou indifférente, on ne sait pas, la fleur. Mais parfois tout de même notre rudesse capitule devant sa diaphanéité. Parfois frivole la fleur. Ou respectable. On ne sait pas la fleur. Parfois subjugué parfois détaché je l'ai observée, elle faisait en moi miroir, effigie de quoi ? Je voudrais faire la lumière sur ma propre énigme, qu'est-ce qui est mythe ou légende, qu'est-ce qui est véridique ? J'entends des roulades, je suis au pré et je me sens discordant. Je voudrais consoner avec cette nature festive qui bruisse partout alentour, mais je deviens presque le bigot de ce temple esméraldin. La fleur est-elle un attribut du sujet que je suis ? Cette clairière aux lumières ébouriffées, cette allée sous les frondaisons, tout cela est semblable à un sphinx. Je me perçois comme très inférieur à ces beautés. Et si je me contentais de bucoliser ? Afin de réduire le divorce homme/monde ? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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