Partager Posté(e) 17 septembre 2020 (modifié) Jonchant mes sentiers d’un parfum floral, Ohayo, une brise rémanente Dont je redoute la fin imminente ; Toujours t’élèves sur un piédestal. Achalandé de par mes états d’âmes, Te façonne les traîts d’une sibylle. Ma main traîne le relief délébile, De ta beauté qui vire au filigrane. Tu te prétendais froide comme naine, Pourtant, ta mansuétude m’apaise. Tu te prétendais chaude comme braise, Pourtant ta délicatesse m’étrenne. Parfois un rare sourire m’échappe Tu es la licorne et moi le poulain. Plus vulnérable, assurément humain Mais quand il y a averse, on s’écharpe. Jusqu’à percer tes occultes desseins, Je te suis en de lointaines contrées. Le temps serait confondu - c’est d’Einstein. Les colombes te célèbrent en choeur, Si bien que je voudrais te rencontrer. Devant tes yeux j’ai fondu - c’est du cœur. Modifié 20 septembre 2020 par Eathanor Modification de l'avant-dernier vers 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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