Partager Posté(e) 5 septembre 2020 Peu à peu se perdent les chemins trois pas là ne mènent plus nulle part qu’à des souvenances errantes au gré d’humeurs paresseuses vapeurs solennelles au goût d’éternelle absence seule l’hirondelle avec le chant de la mer tracent de douces heures sur les rives d’un cœur à marée basse passe l’ombre ultime un naufrage d’antique augure chaque instant est l’ultime embrassade du sort. 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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