Partager Posté(e) 26 août 2020 (modifié) Tant va la flèche au cœur qu’à la fin je m’en lasse Au bout d’un jour chéri incendié des rayons D’un soleil empathique au trajet des layons Qui traversent ma vie et mon cœur et m’enlacent Oublieux de la peur des fatales crevasses De l’appel des corbeaux dans l’éclat des moissons De l’amère vendange au son de ma chanson Du piège qui me lie au défaut de cuirasse Je me sens étranger aux appels insistants Des aigles affamés dont l’envol éclabousse Le corail de l’azur de remous persistants Et ne cherche qu’à fuir par un faux repentir Qui me rend insensible à tout ce qui me pousse À aimer le présent dans un vague soupir Modifié 26 août 2020 par Jeep 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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