Posté(e) 25 janvier25 janv. comment_188078 Le fleuve Zambèze sur sa totalité Sépare la Zambie de l'autre Zimbabwe Et moi je traversai sur l'un de ces deux ponts De Chirundu afin de l'aimer pour de bon. Le pont des chutes Victoria aurait pu Reliant Livingstone et malgré qu'il en fût À Victoria Falls pour rejoindre ma belle Au Zimbabwe voisin où je n'attendais qu'elle. La route sur le barrage de Kariba M'eût rapproché aussi d'affriolants appas D'une beauté sublime et moi je dis Zambèze ! Alors la plus grande cataracte n'est rien À côté des ébats de nos corps de païens Sur un rythme de folk, sur la voix de Joan Baez. Modifié 25 janvier25 janv. par Marc Hiver
Posté(e) 25 janvier25 janv. comment_188094 Absente depuis bien longtemps sur AP j'ai plaisir à retrouver votre humour. 😉
Posté(e) 25 janvier25 janv. comment_188104 Un poème très savoureux, à déguster sous la pluie, pour le contraste !
Posté(e) 25 janvier25 janv. comment_188116 Un poème géographique qui nous fait voyager à travers l'Afrique sans avoir à prendre l'avion. C'est bon pour la planète en plus.
Posté(e) 25 janvier25 janv. comment_188143 Il fallait pouvoir réunir le début de ce poème avec la fin.
Posté(e) 25 janvier25 janv. comment_188147 Le fleuve Zambèze soulève d’emblée des soupçons en raison d’une rime riche.
Posté(e) 26 janvier26 janv. comment_188184 Une désopilante et poétique déambulation érotico-géographique !
Posté(e) 26 janvier26 janv. comment_188228 Une lecture fort agréable où l'humour est porté par le style. Et j'ai bien progressé en géographie !