Partager Posté(e) mardi à 09:49 (modifié) Il était une fois un barde merveilleux Aux pouvoirs si puissants que les fées de la lande L'admiraient en silence à l'instar des aïeux Dont le culte inouï tressait moultes guirlandes. Combien de farfadets, combien de korrigans Dansaient sur son passage en brandissant des fleurs Qu'on n'aurait jamais vues — foi de mage d'antan Sans le Hamel sauvage ès Ronches du bonheur. Point de saint en son cœur, n'en déplaise au Malin, Mais une aménité quand il vous accueillait Sous la roche sacrée toujours d'un ton Merlin. Si vous passez tcheu nous, heula ! la belle affaire, Arrêtez-vous par chin pour un boujou d'or vrai, Aussi vrai que le vent à vous en fendre l'air ! Modifié mardi à 12:51 par Marc Hiver 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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