Partager Posté(e) 28 septembre (modifié) Ceux qui chantent l'automne encagent tout leur être En proie au désespoir d'un si vain tracassin Les plongeant dans le noir, j'avoue que cela craint ! Mais moi, où va ma vie, enverrai-je tout paître ? Ô bien sûr les marrons en purée ou en crème, Le cèpe ou la girolle et les pieds de mouton Que j'offre à ma girelle aux si jolis tétons Que tantôt mangerons en mastiquant : « je t'aime » ! Dehors voici la pluie qui piétine les feuilles Faisant de l'attristé une espèce de gland, Car Mort en embuscade a les couleurs du deuil. Pourtant la peau de bête où nous rêvons cul nu Aux chutes du Zambèze en un pays si grand Que nos corps félidés s'y dévorent tout cru ! Modifié 30 septembre par Marc Hiver 6 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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