Partager Posté(e) 26 septembre Sous la porte cochère Je regarde Pleurer les nuages Ils me sont subsidiaires Tant la pluie Caresse mes images De souvenirs réveillés Décantent Quelques gouttes Le crépuscule était notre allié Nous n'en avions Pas de doute Des ombres éclairaient la rue Nous refusant De nous cacher Trempés, transis, et repus De baisers Même pas volés Pour compter les secondes Entre éclairs Et coups de tonnerre Nous étions seuls au monde Seul le ciel Ne pouvait se taire D'un tendre chuchotis magique D'un souffle coquin Du vent S'entête une petite musique Qui me rattrape A présent Je vénère les vieux porches Etrangement Les soirs de pluie Où des fées se changent en torches Et enchantent Mes nuits 5 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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