Partager Posté(e) vendredi à 16:11 Au terme d'une vie où je fis tant le mort, Je m'échappe parfois dans la dimension Dont on se dit, surpris, que le coquin de sort Nous a béni souvent au gré de l'alcyon. Son chant plaintif et doux présageait d'une paix Qui nous envahissait malgré que l'anamnèse Évoqua du passé comme en un chapelet Des bribes de chansons sur les flots Véronèse. Les parfums éthérés de l'âme pécheresse Y portaient jusqu'aux nues un soupçon de bonheur, Fugace témoignage à l'aplomb des tendresses. Aussi vrai que l'amour éphémère est sublime Quand la force des mots dissipera la peur, Nous planerons sans crainte au-dessus des abymes. 14 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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