Partager Posté(e) 27 janvier (modifié) Foutaise que ma vie à vivre au jour le jour En attendant la mort prête à nous embrasser Et reposer nos corps pour une éternité De vide insouciant, mais dénué d'amour. Ne pourrai-je emporter une petite cuisse Pour jamais reluquer du fond de mon tombeau Une chair si fragile et douce dans le beau Que je caresserai quand la peau se fait lisse ? J'ai déjà tout prévu : un cercueil ronde bosse Où s'ébattre sans fin en ne pensant à rien Fors le plaisir coquin d'y faire craquer l'os ! Noble tabellion, exauce tous mes vœux : Dis-toi que je serai à l'ailleurs mieux que bien Dans un désert de feu et de flammes à deux. Modifié 27 janvier par Marc Hiver 3 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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