Connecté Partager Posté(e) 23 janvier Laissez venir à moi les ressentis Éprouvés lorsque tous les chats sont gris Dans des poèmes vains au clair de lune Et leurs fiasques d'eau-de-vie de prune Épanchant ses lueurs dont je me gausse, Car l'impression de nuit se défausse Pour imprégner d'une effroyable odeur Le fragment clone au fil de l'eau et d'heures Pour peu que mes jolis petits souliers Y piétinent leurs esprits par milliers De sensations ou d'émotions M'habitant malgré moi au coin du cœur Ou ce qu'il en reste de l'arnaqueur Fort cinglé au bout de ses passions. 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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