Partager Posté(e) 26 novembre 2022 Le soir étend les ailes noires de nos envies l’espoir se noie dans le moiré des velours vibrants, à l’étouffoir des moiteurs endiablées ravies, au regard, bimoteur, les nymphes de tons luisants, II vient le temps inné des besoins de douceur poids fortifiés d'âmes alanguies au giron, de ces mélodies de satins au parfum berceur, giclant aux pulsations rêches du cyclotron puis elles rythment les pistons bio-mécaniques de métal et d’huile il fait entendre sa musique et le sauvage endormi aux machines s’éveille la cybernétique se déchire d'un cantique, les os se tordent au lubrifiant du portique inoxydables tourments s’ouvrant sur les merveilles. 12 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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